Qui est pertinente, au regard du fait que l'huile se charge d'humidité.
Bah l'humidité au 1er trajet assez long, l'eau s'évapore de l'huile
J'ai rarement vu de l'eau rester à l'état liquide dans de l'huile à 90 - 100 degrés
Qui est pertinente, au regard du fait que l'huile se charge d'humidité.
Ce qui impose le remplacement de l'huile, c'est surtout la contrainte mécanique. L'huile est laminée et chargé de particules de métal qui "s'arrachent" des pièces en mouvement (pignons, pistons, cylindres, pompe à huile etc).NK 1964 a écrit :J'ai souvent entendu et lu cette remarque.
Qui est pertinente, au regard du fait que l'huile se charge d'humidité.
Or, je me demande si le raisonnement tient la route.
Humblement, je pose la question.
Je m'explique.
A mon sens, l'humidité dont se charge l'huile provient avant tout de la vapeur d'eau produite par la combustion du mélange air-essence. Bien plus que de l'air ambiant, durant la phase d'arrêt du moteur.
Selon mon raisonnement (mais qui est peut-être faux, hein ! ) le contact entre l'huile et l'air ambiant est très, très réduit, durant les phases d'arrêt du moteur.
Dans le cylindre où les soupapes se sont arrêtées en bascule, il peut y avoir admission d'un peu d'air ambiant.
Peut-être. Et encore.
Mais l'essentiel de l'huile est contenu dans le carter inférieur.
Lequel est maintenu sous pression, non ?
Je pose des questions, je pose des questions...
Je m'interroge, je doute ! :
laisse une caisse un an dehors, avant la remise en route, depose le cache culasse, tu seras surpris........goutelettes de flottes collé au cache même gras......partout ou il y a de l'air, il y aura de l'humidité, rosé qui se forme aux alentours des 13/15°c.NK1964 a écrit : ↑mer. mars 31, 2021 3:14 pm J'ai souvent entendu et lu cette remarque.
Qui est pertinente, au regard du fait que l'huile se charge d'humidité.
Or, je me demande si le raisonnement tient la route.
Humblement, je pose la question.
Je m'explique.
A mon sens, l'humidité dont se charge l'huile provient avant tout de la vapeur d'eau produite par la combustion du mélange air-essence. Bien plus que de l'air ambiant, durant la phase d'arrêt du moteur.
Selon mon raisonnement (mais qui est peut-être faux, hein ! ) le contact entre l'huile et l'air ambiant est très, très réduit, durant les phases d'arrêt du moteur.
Dans le cylindre où les soupapes se sont arrêtées en bascule, il peut y avoir admission d'un peu d'air ambiant.
Peut-être. Et encore.
Mais l'essentiel de l'huile est contenu dans le carter inférieur.
Lequel est maintenu sous pression, non ?
Je pose des questions, je pose des questions...
Je m'interroge, je doute ! :
Utilisateurs parcourant ce forum : Google [Bot], rikiki et 23 invités