Pas de nouvelles, j'attends toujours l'homologation.
B10 Biturbo
- sherlock
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Re: B10 Biturbo
Juste une photo de plus, pour le plaisir.
Pas de nouvelles, j'attends toujours l'homologation.

Pas de nouvelles, j'attends toujours l'homologation.
- moishe
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Re: B10 Biturbo
Rrrrrrrrrrââââââââââââââahhhhhhhhhhhh ....Elle est vraiment trop belle, y'a pas à dire la E34 me fait toujours autant d'effet, mais quand ALPINA s'en mêle, ça cogne !!
ça y'est je bave encore sur mon clavier moi !!
Merci pour ces belles images Sherlock.
See you @++
ça y'est je bave encore sur mon clavier moi !!

Merci pour ces belles images Sherlock.
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M5E34 94'
- Greg321
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Re: B10 Biturbo
C'est vrai qu'elle est splendide cette Alpina.Malgrés que la caisse soit vieillissante,j'ai toujours adoré la e34,bestiale je trouve.Alors en Alpina,monstrueusement bestiale!!!
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Now,vive la sural sur S54 lolol!!!

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- viko
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Re: B10 Biturbo
Terrible ta b10,félicitation pour cette avion de chasse!
- Mac Fly
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Re: B10 Biturbo
C'est tellement beau
Tu les as pas en haute résolution ces photos?
A++

Tu les as pas en haute résolution ces photos?

A++

Théoreme de Jaki:"Plusse café du bruit, plusse ca pousse"
- sherlock
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Re: B10 Biturbo
J'ai sorti brièvement la B10 cette semaine pour lui dégourdir les bielles. Pour les amateurs, voici la suite de mes impressions.
Je suis toujours surpris 1. qu'elle démarre au quart de tour même après 3 semaines immobilisée 2. du manque de sensation sonore. Cette voiture fait très peu de bruit, au ralenti comme en charge, à l'extérieur et encore moins à l'intérieur.
Les première minutes sont toujours effectuées avec beaucoup de prudence, car 1. la boite est dure à froid, et j'ai peur de rater une vitesse et 2. connaissant la réputation de l'engin, je ne veux surtout pas forcer le moteur avant qu'il ne soit chaud. Je me fais parfois l'effet d'être aux commandes d'un pétard qui va me sauter à la figure! Donc je surveille srcupuleusement la T° d'huile, qui monte gentiment à 80°, en environ 15 à 20 minutes de conduite tranquille, vers les 2500 trs.
La direction est un peu floue, et elle tire un peu à droite, ce qui me gêne car j'aime conduire d'une main sur l'autoroute. Le "cruise" control" est très utile à maintenir la voiture à 120 , et se manipule avec une manette très pratique (à droite en bas du volant), contrairement à ma E39 sur laquelle la commande était au volant. A cette vitesse, tout se passe comme dans n'importe quelle BMW serie 5: peu de bruit, bon confort, bref on ne remarque rien. J'ai déjà parlé des accélérations, donc je ne reviendrai pas sur les performances lorsqu'on pousse "à fond". J'ai plutôt voulu tester les réactions lorsque roule avec cette B10 comme si ce n'était pas une B10! A 120 en cinquième, le régime est à peine au dessus de 2000 trs. Donc lorsqu'on décide de dépasser, et bien il ne se passe pas grand chose! Il faut repasser au moins en quatrième pour monter à 3000 trs, et même là, la vraie poussée se fait attendre jusque 4000 . Mais on est déjà trop "vite" pour des conditions normales, puisqu'à 4000 en 4eme on est autour de 160...
En résumé, sur autoroute, la voiture est très confortable à 120-130, mais , à moins de repasser la troisième ce qui est inconfortable, elle n'accélère pas plus fort qu'une 525D moderne. La B10 ne montre la différence qu'à partir de 180 en quatrième, qui est utilisée jusque 240 , et là ca pousse très vigoureusement (on est au dessus de 4000) , vitesse à laquelle on passe la 5eme, et ca repart encore très fort. Bref, en utilisation "courante", la B10 ne sert à rien!
Puis j'ai quitté l'autoroute pour des routes "de campagne". je ne mets jamais la 1ere vraiment à fond (tjs le souci de ne pas "casser") , mais en 2eme, j'ai quand même laché la cavalerie. Le temps de réponse du turbo est "presque " inexistant comparé à la B7 (mais le presque fait toute la différence quand on roule plus vite). L'accélération en 2eme et 3eme tient vraiment du dragster . On se retrouve à 160 sur un bout de ligne droite (rassurez vous en pleine campagne déserte, avec une visibilité totale sur les bas cotés) sans vraiment s'en rendre compte (toujours pas de bruit) et sans le vouloir. Et ca se gate au premier virage. Le freinage, sans être mauvais, est sans commune mesure avec une M3 E46 par exemple (je ne parle pas de résistance mais d'efficacité sur le 1er coup de frein). Et ca fait peur car on se rend compte qu'on est trop vite, que la voiture fait 1700 kgs.... bref on rentre quand même dans le virage mais un peu échaudé, puis on remet les gaz en 2eme pour le prochain droit, mais comme j'ai dit, il manque peut être 1/10 de sec pour être vraiment au bon moment. (temps de réponse). Et ainsi de suite... jusqu'à se qu'on ralentisse le rythme parce que la voiture est un peu tard pour freiner, et pour accélérer! Je compare avec ma B3, qui freine bien et réaccélère instantanément: elle donne envie de prendre le virage suivant encore plus vite, car on a l'impression de ne pas être au bout de ses capacités. La B10 c'est l'inverse: ne pas aller trop vite sur les petites routes, sinon elle est débordée (surtout freinage).
Enfin, je boucle ma boucle à un rythme plus paisible, sans problème, et je me gare avant de remonter sur l'autoroute, pour inspecter l'état du moteur: la T° d'eau est justre au dessus du milieu, la T° d'huile atteint 95 °, et celle du pont 60°. En ouvrant le capot, une bouffée de chaleur me saute à la figure. C'est tellement chaud que si l'on y prend garde, on se brule le visage. Le ventilateur annexe est en marche, de même que la pompe secondaire du circuit de refroidissement. J'entends l'eau du moteur "glouglouter" dans la culasse: c'est limite ébullition! Je repars illlico à bas régime pour la refroidir, et en effet après 5 min, l'eau est revenue sous le milieu, et l'huile est à 85°.
Je rentre tranquillement par l'autoroute, retour au bercail sans alerte. Apparemment ma fuite de liquide de refroidissement n'est plus qu'un mauvais souvenir (j'ai mis du Marly de colmatage pour circuits d'eau).
Que retenir de tout ceci? que le plaisir de rouler avec une B10 BT nécessite de rouler très vite pour être découvert, que l'auto est destinée aux autoroutes plus qu'aux petites routes. Conduite "normalement", elle est aussi confortable et silencieuse qu'une série 5 lambda. Comme rouler au delà des limites devient un exercice très périlleux de nos jours (à juste titre sans doute), il reste le plaisir de posséder un objet rare et légendaire... J'ai payé pour le savoir, et je ne regrette pas.
Je suis toujours surpris 1. qu'elle démarre au quart de tour même après 3 semaines immobilisée 2. du manque de sensation sonore. Cette voiture fait très peu de bruit, au ralenti comme en charge, à l'extérieur et encore moins à l'intérieur.
Les première minutes sont toujours effectuées avec beaucoup de prudence, car 1. la boite est dure à froid, et j'ai peur de rater une vitesse et 2. connaissant la réputation de l'engin, je ne veux surtout pas forcer le moteur avant qu'il ne soit chaud. Je me fais parfois l'effet d'être aux commandes d'un pétard qui va me sauter à la figure! Donc je surveille srcupuleusement la T° d'huile, qui monte gentiment à 80°, en environ 15 à 20 minutes de conduite tranquille, vers les 2500 trs.
La direction est un peu floue, et elle tire un peu à droite, ce qui me gêne car j'aime conduire d'une main sur l'autoroute. Le "cruise" control" est très utile à maintenir la voiture à 120 , et se manipule avec une manette très pratique (à droite en bas du volant), contrairement à ma E39 sur laquelle la commande était au volant. A cette vitesse, tout se passe comme dans n'importe quelle BMW serie 5: peu de bruit, bon confort, bref on ne remarque rien. J'ai déjà parlé des accélérations, donc je ne reviendrai pas sur les performances lorsqu'on pousse "à fond". J'ai plutôt voulu tester les réactions lorsque roule avec cette B10 comme si ce n'était pas une B10! A 120 en cinquième, le régime est à peine au dessus de 2000 trs. Donc lorsqu'on décide de dépasser, et bien il ne se passe pas grand chose! Il faut repasser au moins en quatrième pour monter à 3000 trs, et même là, la vraie poussée se fait attendre jusque 4000 . Mais on est déjà trop "vite" pour des conditions normales, puisqu'à 4000 en 4eme on est autour de 160...
En résumé, sur autoroute, la voiture est très confortable à 120-130, mais , à moins de repasser la troisième ce qui est inconfortable, elle n'accélère pas plus fort qu'une 525D moderne. La B10 ne montre la différence qu'à partir de 180 en quatrième, qui est utilisée jusque 240 , et là ca pousse très vigoureusement (on est au dessus de 4000) , vitesse à laquelle on passe la 5eme, et ca repart encore très fort. Bref, en utilisation "courante", la B10 ne sert à rien!
Puis j'ai quitté l'autoroute pour des routes "de campagne". je ne mets jamais la 1ere vraiment à fond (tjs le souci de ne pas "casser") , mais en 2eme, j'ai quand même laché la cavalerie. Le temps de réponse du turbo est "presque " inexistant comparé à la B7 (mais le presque fait toute la différence quand on roule plus vite). L'accélération en 2eme et 3eme tient vraiment du dragster . On se retrouve à 160 sur un bout de ligne droite (rassurez vous en pleine campagne déserte, avec une visibilité totale sur les bas cotés) sans vraiment s'en rendre compte (toujours pas de bruit) et sans le vouloir. Et ca se gate au premier virage. Le freinage, sans être mauvais, est sans commune mesure avec une M3 E46 par exemple (je ne parle pas de résistance mais d'efficacité sur le 1er coup de frein). Et ca fait peur car on se rend compte qu'on est trop vite, que la voiture fait 1700 kgs.... bref on rentre quand même dans le virage mais un peu échaudé, puis on remet les gaz en 2eme pour le prochain droit, mais comme j'ai dit, il manque peut être 1/10 de sec pour être vraiment au bon moment. (temps de réponse). Et ainsi de suite... jusqu'à se qu'on ralentisse le rythme parce que la voiture est un peu tard pour freiner, et pour accélérer! Je compare avec ma B3, qui freine bien et réaccélère instantanément: elle donne envie de prendre le virage suivant encore plus vite, car on a l'impression de ne pas être au bout de ses capacités. La B10 c'est l'inverse: ne pas aller trop vite sur les petites routes, sinon elle est débordée (surtout freinage).
Enfin, je boucle ma boucle à un rythme plus paisible, sans problème, et je me gare avant de remonter sur l'autoroute, pour inspecter l'état du moteur: la T° d'eau est justre au dessus du milieu, la T° d'huile atteint 95 °, et celle du pont 60°. En ouvrant le capot, une bouffée de chaleur me saute à la figure. C'est tellement chaud que si l'on y prend garde, on se brule le visage. Le ventilateur annexe est en marche, de même que la pompe secondaire du circuit de refroidissement. J'entends l'eau du moteur "glouglouter" dans la culasse: c'est limite ébullition! Je repars illlico à bas régime pour la refroidir, et en effet après 5 min, l'eau est revenue sous le milieu, et l'huile est à 85°.
Je rentre tranquillement par l'autoroute, retour au bercail sans alerte. Apparemment ma fuite de liquide de refroidissement n'est plus qu'un mauvais souvenir (j'ai mis du Marly de colmatage pour circuits d'eau).
Que retenir de tout ceci? que le plaisir de rouler avec une B10 BT nécessite de rouler très vite pour être découvert, que l'auto est destinée aux autoroutes plus qu'aux petites routes. Conduite "normalement", elle est aussi confortable et silencieuse qu'une série 5 lambda. Comme rouler au delà des limites devient un exercice très périlleux de nos jours (à juste titre sans doute), il reste le plaisir de posséder un objet rare et légendaire... J'ai payé pour le savoir, et je ne regrette pas.
- énix
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Re: B10 Biturbo
Merci du feedback !
Ca me fait un peu penser à ce que l'on peut éprouver avec une M5 V8 !

Ca me fait un peu penser à ce que l'on peut éprouver avec une M5 V8 !

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