Ce qui est dommage c'est que ce n'est pas la rentabilité qui compte mais le chiffre de celle-ci, car ce sont les actionnaires qui sont contents de voir une rentabilité élevée et les petites concession qui travaillent a la qualité mais n'ont pas le rendement des gros groupes font baisser la moyenne, dehors !
C'est une décision de financier, meme pas d'économiste, sans aucun intéret pour le produit ou l'image de la marque concernée, le patron qui prend ces décisions travaillerait pour Barilla ou Panzani ferait exactement le meme boulot !
En gros, et c'est le mal de notre monde moderne, c'est de la réflexion a court terme. Avec seulement quelques concessions implantées en région parisienne, on ne va garder que les sites ou ca tourne a fond, il y aura 2 mois de délai pour un rdv dans un garage a 50 bornes de chez soi, le prix d'une twingo neuve par facture et un accueil assuré par des hotesses formées par Joey Starr.
Je pense pas que ca fasse du bien a la marque sur le moyen terme si l'implantation du réseau diminue, meme si ceux qui restent s'agrandissent.
seb
Du Riffifi Dans Les Concessions?
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Ma religion c'est pas de dieu et seize sous-papes
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
salut,
ça fait carrément du mal aux marques, c'est sur !
regardez ce que j'ai expliqué bien plus haut dans ce sujet :
ces décisions sont prises par des rigolos fraichement sortis de leurs grandes Ecoles, mais qui n'ont aucune notion du terrain, ou des acquis de la marque.
Ils comparent des chiffres, et tranchent dans le vif, sans tenir compte du facteur humain, et encore pire affectif.
Parce qu'ils ne virent pas ceux qui perdent de l'argent ( et des garages qui perdent des sous, à part les marques françaises, qui ont déjà tué leur réseaux, ça n'existe pas...), mais ceux qui n'en gagnent pas assez par rapport à leur grille type.
ce sont des robots écervelés qui prennent ce genre de décision, sans recul, sans réflexion.
"c'est comme ça, nous avons l'aval du constructeur"
l'histoire des succès automobiles est toujours une histoire d'hommes, rarement d'argent...( elle est belle celle là, je vais la garder !
)
on fera les comptes dans dix ans.
Mais une marque aussi prospère que bmw à l'heure actuelle n' pas besoin de ce genre de grand ménage, je ne comprend pas.
ça fait carrément du mal aux marques, c'est sur !
regardez ce que j'ai expliqué bien plus haut dans ce sujet :
ces décisions sont prises par des rigolos fraichement sortis de leurs grandes Ecoles, mais qui n'ont aucune notion du terrain, ou des acquis de la marque.
Ils comparent des chiffres, et tranchent dans le vif, sans tenir compte du facteur humain, et encore pire affectif.
Parce qu'ils ne virent pas ceux qui perdent de l'argent ( et des garages qui perdent des sous, à part les marques françaises, qui ont déjà tué leur réseaux, ça n'existe pas...), mais ceux qui n'en gagnent pas assez par rapport à leur grille type.
ce sont des robots écervelés qui prennent ce genre de décision, sans recul, sans réflexion.
"c'est comme ça, nous avons l'aval du constructeur"
l'histoire des succès automobiles est toujours une histoire d'hommes, rarement d'argent...( elle est belle celle là, je vais la garder !

on fera les comptes dans dix ans.
Mais une marque aussi prospère que bmw à l'heure actuelle n' pas besoin de ce genre de grand ménage, je ne comprend pas.

"celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre..." Sun Tzu
- scrapy-doo
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Des garages qui perdent des sous ça n'existe pas...
Si si malheuresement ça existe... Et des garages qui arrivent tout juste à l'équilibre c'est la grande majorité !!
Le rapport entre les capitaux investis et les bénéfices est très faible... Pour faire de l'argent aujourd'hui il vaut mieux investir dans un supermarché !!
Un point de vente automobile c'est un investissement énorme de plusieurs millions d'euros et des charges fixes très élevées, pour tirer quelques dizaines de milliers d'euros de bénéfice à la fin de l'année...
Si si malheuresement ça existe... Et des garages qui arrivent tout juste à l'équilibre c'est la grande majorité !!
Le rapport entre les capitaux investis et les bénéfices est très faible... Pour faire de l'argent aujourd'hui il vaut mieux investir dans un supermarché !!

Un point de vente automobile c'est un investissement énorme de plusieurs millions d'euros et des charges fixes très élevées, pour tirer quelques dizaines de milliers d'euros de bénéfice à la fin de l'année...
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Un autre article sorti aujourd'hui...
Nicolas Wertans ne commente pas les mouvements au sein du réseau de BMW France
Le président de BMW France ne commente pas les négociations en cours actuellement au sein du réseau qui relèvent d’une relation "bilatérale". Celles-ci ne seraient pas directement liées aux renouvellements de contrats, nous a-t-il dit.
"Nous avons des discutions avec l’ensemble des investisseurs qui tiennent compte de leur engagement, de leur volonté, de leur savoir faire et de leurs moyens financiers, comme dans tous les réseaux", nous a dit Nicolas Wertans, président de BMW Group France.
Les contrats de distribution automobile du réseau BMW France, d’une durée de 5 ans arriveront à échéance le 30 septembre 2008 et le préavis de résiliation est de 6 mois, soit le 31 mars 2008, note le patron de la marque en France.
Les lettres qui ont été envoyées au réseau ne s’inscrivent donc pas, selon lui, dans un processus juridique. "Si nous avons souhaité communiquer en avance avec chaque membre du réseau, nous ne souhaitons pas communiquer à l’extérieur sur ce sujet", a dit à autoactu.com Nicolas Wertans.
Le président de BMW France parle de "feuilles de route" individuelles. Celles-ci n’en demeurent pas moins des lettres aux termes desquels un certain nombre de distributeurs actuels ne se verront pas proposer de contrats après le 30 septembre 2008. Nicolas Wertans n’a pas confirmé non plus le chiffre de 28 contrats qui seraient concernés par ces non renouvellements.
Il ne confirme donc pas le plan qui consisterait à ne conserver que 4 opérateurs sur Paris dont BMW Distribution. "Nous avons sur Paris un très grand nombre de points de vente et dans certains cas une qualité de représentation pas suffisante pour le développement de la marque", nous a-til dit.
Les cessions doivent trouver "un équilibre de marché"
Des mouvements auront lieu, "comme dans tous les réseaux, indépendamment de l’échéance du contrat", nous a dit le président de BMW Group France, même si "idéalement, nous pensons qu’il est mieux pour les investisseurs qu’il y ait concomitance". Le nouveau contrat qui sera proposé devrait être une évolution du contrat actuel avec notamment une "simplification" mais devra ensuite s'adapter au règlement européen qui entrera en vigueur en 2010.
Par ailleurs, si des cessions doivent avoir lieu, le président de BMW France souhaite qu’elles trouvent "un équilibre de marché" préservant à la fois les intérêts du vendeur et de l’acheteur. "Il est très évident que si des cessions ont lieu, nous souhaitons qu’elles se fassent dans le respect des opérateurs en place s’ils décident de quitter le réseau et de vendre", affirme Nicolas Wertans qui propose que l'importateur joue un rôle de modérateur.
Par ailleurs, le président de BMW France nous a confié être profondément choqué que l’on puisse l’accuser de "jeunisme", et que l'on puisse penser qui'il fait la "chasse aux vieux" comme certains concessionnaires le disent. "J’ai beaucoup de respect pour l’âge et l’expérience", nous a-t-il dit. Il assure également être proche des concessionnaires et relève que l’on n’instaure pas des relations de proximité en 8 mois. Il affirme défendre les mêmes valeurs culturelles de l’entreprise qu’auparavant.
Une rentabilité améliorée en 2007
Alors que certains distributeurs nous ont dit constater une "explosion des moyens commerciaux", Nicolas Wertans est catégorique : "nous n’achetons pas de parts de marché". "La croissance est indispensable pour accompagner le groupe et les investissement dans les développement futurs, mais nous ne faisons pas de course aux volumes", explique-t-il. "Nous ne sommes absolument pas dans une phase d’achat de flottes d’entreprises en étant dispendieux sur les valeur de reprises. Si certains concessionnaires le font, c’est leur légitimité d’opérateur indépendant."
"L’enveloppe globale de nos moyens commerciaux est constante", assure Nicolas Wertans, même s’il admet que "l’allocation est différente" et que "certains produits et certains clients ont besoin d’être plus et mieux soutenus". L’accroissement des ventes aux entreprises (et donc la baisse de la part des ventes aux particuliers passée 54,3% en 2006 et 57,5% en 2005) ne date pas de cette année, fait-il remarquer. Cette stratégie a même a été très nette en 2006, avant sa nomination. La part des particuliers aurait plutôt tendance à se stabiliser depuis (52,77% à fin juillet 2007).
Il en est de même de l'évolution de la rentabilité dont la détérioration remonte à 2006 où elle a été de 1,5% en moyenne alors qu'elle était supérieure à 2% en 2002. "Selon nos indicateurs, la rentabilité du réseau devrait être supérieur en 2007 à ce qu'elle était l'an dernier", assure Nicolas Wertans.
Trouvé ça aussi :
BMW recapitalise BMW Distribution
BMW a procédé cet été à une recapitalisation de sa filiale BMW Distribution d’un montant de 1,626 millions d’euros (ce qui portait son capital à 6,626 millions d’euros) suivit d’une réduction du capital social de 6,126 millions d’euros (ce qui le ramène à 500 000 euros) pour apurer les pertes de 6,126 millions d’euros de la société.
Un "coup d’accordéon" comme on dit dans le jargon financier relativement classique et qui s’explique par l’investissement immobilier, nous a dit Nicolas Wertans, "cohérent avec les prévisions", nous a-t-il précisé.
A ce jour, la société est propriétaire d’une concession automobile avenue Emile Zola à Paris (achetée il y a 4 ans), ainsi que deux affaires moto avenue de la Grande-Armée et rue Bobillot. Il faut dans ces pertes considérer l’investissement immobilier nous a expliqué le président de BMW Group France qui assure que l’activité d’exploitation des succursales est rentable.
La société s’apprête a faire un nouvel investissement important à Vélizy avec un centre qui sera à la fois un "Brand center" et présentera les marques BMW automobile et moto ainsi que Mini. Ce sera également une concession avec un service commercial et après-vente pour l’automobile, mais pas pour la moto. Ce centre devrait ouvrir au plus tard au printemps 2009.
Nicolas Wertans ne commente pas les mouvements au sein du réseau de BMW France
Le président de BMW France ne commente pas les négociations en cours actuellement au sein du réseau qui relèvent d’une relation "bilatérale". Celles-ci ne seraient pas directement liées aux renouvellements de contrats, nous a-t-il dit.
"Nous avons des discutions avec l’ensemble des investisseurs qui tiennent compte de leur engagement, de leur volonté, de leur savoir faire et de leurs moyens financiers, comme dans tous les réseaux", nous a dit Nicolas Wertans, président de BMW Group France.
Les contrats de distribution automobile du réseau BMW France, d’une durée de 5 ans arriveront à échéance le 30 septembre 2008 et le préavis de résiliation est de 6 mois, soit le 31 mars 2008, note le patron de la marque en France.
Les lettres qui ont été envoyées au réseau ne s’inscrivent donc pas, selon lui, dans un processus juridique. "Si nous avons souhaité communiquer en avance avec chaque membre du réseau, nous ne souhaitons pas communiquer à l’extérieur sur ce sujet", a dit à autoactu.com Nicolas Wertans.
Le président de BMW France parle de "feuilles de route" individuelles. Celles-ci n’en demeurent pas moins des lettres aux termes desquels un certain nombre de distributeurs actuels ne se verront pas proposer de contrats après le 30 septembre 2008. Nicolas Wertans n’a pas confirmé non plus le chiffre de 28 contrats qui seraient concernés par ces non renouvellements.
Il ne confirme donc pas le plan qui consisterait à ne conserver que 4 opérateurs sur Paris dont BMW Distribution. "Nous avons sur Paris un très grand nombre de points de vente et dans certains cas une qualité de représentation pas suffisante pour le développement de la marque", nous a-til dit.
Les cessions doivent trouver "un équilibre de marché"
Des mouvements auront lieu, "comme dans tous les réseaux, indépendamment de l’échéance du contrat", nous a dit le président de BMW Group France, même si "idéalement, nous pensons qu’il est mieux pour les investisseurs qu’il y ait concomitance". Le nouveau contrat qui sera proposé devrait être une évolution du contrat actuel avec notamment une "simplification" mais devra ensuite s'adapter au règlement européen qui entrera en vigueur en 2010.
Par ailleurs, si des cessions doivent avoir lieu, le président de BMW France souhaite qu’elles trouvent "un équilibre de marché" préservant à la fois les intérêts du vendeur et de l’acheteur. "Il est très évident que si des cessions ont lieu, nous souhaitons qu’elles se fassent dans le respect des opérateurs en place s’ils décident de quitter le réseau et de vendre", affirme Nicolas Wertans qui propose que l'importateur joue un rôle de modérateur.
Par ailleurs, le président de BMW France nous a confié être profondément choqué que l’on puisse l’accuser de "jeunisme", et que l'on puisse penser qui'il fait la "chasse aux vieux" comme certains concessionnaires le disent. "J’ai beaucoup de respect pour l’âge et l’expérience", nous a-t-il dit. Il assure également être proche des concessionnaires et relève que l’on n’instaure pas des relations de proximité en 8 mois. Il affirme défendre les mêmes valeurs culturelles de l’entreprise qu’auparavant.
Une rentabilité améliorée en 2007
Alors que certains distributeurs nous ont dit constater une "explosion des moyens commerciaux", Nicolas Wertans est catégorique : "nous n’achetons pas de parts de marché". "La croissance est indispensable pour accompagner le groupe et les investissement dans les développement futurs, mais nous ne faisons pas de course aux volumes", explique-t-il. "Nous ne sommes absolument pas dans une phase d’achat de flottes d’entreprises en étant dispendieux sur les valeur de reprises. Si certains concessionnaires le font, c’est leur légitimité d’opérateur indépendant."
"L’enveloppe globale de nos moyens commerciaux est constante", assure Nicolas Wertans, même s’il admet que "l’allocation est différente" et que "certains produits et certains clients ont besoin d’être plus et mieux soutenus". L’accroissement des ventes aux entreprises (et donc la baisse de la part des ventes aux particuliers passée 54,3% en 2006 et 57,5% en 2005) ne date pas de cette année, fait-il remarquer. Cette stratégie a même a été très nette en 2006, avant sa nomination. La part des particuliers aurait plutôt tendance à se stabiliser depuis (52,77% à fin juillet 2007).
Il en est de même de l'évolution de la rentabilité dont la détérioration remonte à 2006 où elle a été de 1,5% en moyenne alors qu'elle était supérieure à 2% en 2002. "Selon nos indicateurs, la rentabilité du réseau devrait être supérieur en 2007 à ce qu'elle était l'an dernier", assure Nicolas Wertans.
Trouvé ça aussi :
BMW recapitalise BMW Distribution
BMW a procédé cet été à une recapitalisation de sa filiale BMW Distribution d’un montant de 1,626 millions d’euros (ce qui portait son capital à 6,626 millions d’euros) suivit d’une réduction du capital social de 6,126 millions d’euros (ce qui le ramène à 500 000 euros) pour apurer les pertes de 6,126 millions d’euros de la société.
Un "coup d’accordéon" comme on dit dans le jargon financier relativement classique et qui s’explique par l’investissement immobilier, nous a dit Nicolas Wertans, "cohérent avec les prévisions", nous a-t-il précisé.
A ce jour, la société est propriétaire d’une concession automobile avenue Emile Zola à Paris (achetée il y a 4 ans), ainsi que deux affaires moto avenue de la Grande-Armée et rue Bobillot. Il faut dans ces pertes considérer l’investissement immobilier nous a expliqué le président de BMW Group France qui assure que l’activité d’exploitation des succursales est rentable.
La société s’apprête a faire un nouvel investissement important à Vélizy avec un centre qui sera à la fois un "Brand center" et présentera les marques BMW automobile et moto ainsi que Mini. Ce sera également une concession avec un service commercial et après-vente pour l’automobile, mais pas pour la moto. Ce centre devrait ouvrir au plus tard au printemps 2009.
- mrclean
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Comme toi, je déplore cette logique économique pure & dure qui, à terme, nuira à la clientèle.sebalex a écrit :Ce qui est dommage c'est que ce n'est pas la rentabilité qui compte mais le chiffre de celle-ci, car ce sont les actionnaires qui sont contents de voir une rentabilité élevée et les petites concession qui travaillent a la qualité mais n'ont pas le rendement des gros groupes font baisser la moyenne, dehors !
C'est une décision de financier, meme pas d'économiste, sans aucun intéret pour le produit ou l'image de la marque concernée, le patron qui prend ces décisions travaillerait pour Barilla ou Panzani ferait exactement le meme boulot !
En gros, et c'est le mal de notre monde moderne, c'est de la réflexion a court terme....
;o) Stf.
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Le probleme est que justement ce n'est pas une logique économique (car la logique économique voudrait qu'une entreprise rentable ne licencie pas) mais une logique financiere, la nuance est importante.mrclean a écrit :Comme toi, je déplore cette logique économique pure & dure qui, à terme, nuira à la clientèle.
;o) Stf.
Depuis les années 90 la finance prend le pas sur l'économie et ce sont de complexes équations mathématiques qui font la fortune des traders et la misere de nos industries.
Seulement a force de jouer avec les montages financiers le chateau de carte devient pour le moins bancale, la crise de liquidités actuelle en est une illustration mais ce n'est que la face visible de l'iceberg.
J'ai bien peur qu'on aille vers une crise sans précédent pour 2008. Je suis a peine HS car la décision de BMW France est une décision au résultat a court terme mais qui risque de leur faire mal a moyen/long terme comme tout ce qui tient la finance aujourd'hui.
seb
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- dreier 78
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
salut,scrapy-doo a écrit :Des garages qui perdent des sous ça n'existe pas...
Si si malheuresement ça existe... Et des garages qui arrivent tout juste à l'équilibre c'est la grande majorité !!
Le rapport entre les capitaux investis et les bénéfices est très faible... Pour faire de l'argent aujourd'hui il vaut mieux investir dans un supermarché !!
Un point de vente automobile c'est un investissement énorme de plusieurs millions d'euros et des charges fixes très élevées, pour tirer quelques dizaines de milliers d'euros de bénéfice à la fin de l'année...
ce qui rapporte des sous, ça fait bien quinze ans que c'est comme ça dans la plupart des cas, c'est le SAV, pas la vente de voitures neuves.
mais sans ventes, pas de passage en atelier.
donc les concessions "capitalisent" en vendant des autos, c'est tout.
proportionnellement, un agent gagne plus qu'un concession.
maintenant, quelques dizaines de milliers d'euros de bénéfices, 95 % des entreprises françaises aimeraient les faire...

encore que le régime fiscal d'impot sur les sociétés, incite plutot à reinvestir vite AVANT de déclarer un bénéfice quelconque.
ne nous fions pas forcement au bilan : les patrons ont encore de beaux jours devant eux...

"celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre..." Sun Tzu
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Re: Du Riffifi Dans Les Concessions?
Si tu as plusieurs millions d'euros à placer il y a des choses beaucoup plus rentables à faire et de bien meilleures solutions pour placer ton argent que dans un point de vente automobile...
La vente des véhicules rapporte très peu, l'atelier permet de couvrir les charges fixes, après la plupart du temps le bénéfice final est en grande partie constitué par les marges arrières distribuées par les constructeurs sous forme de primes d'objectifs...
Les grands groupes arrivent à mutualiser beaucoup de choses et à maximiser du coup leurs profits...
Des "petits" distributeurs indépendants il n'y en a quasiment plus !! Espèce en voie d'extinction !!
Une "concession" dégage une rentabilité de 2% quand ça marche bien...
Un centre norauto ou roady qui tourne peut monter à plus de 6 %...
Moi je sais ou je placerai mon argent !!
La vente des véhicules rapporte très peu, l'atelier permet de couvrir les charges fixes, après la plupart du temps le bénéfice final est en grande partie constitué par les marges arrières distribuées par les constructeurs sous forme de primes d'objectifs...
Les grands groupes arrivent à mutualiser beaucoup de choses et à maximiser du coup leurs profits...
Des "petits" distributeurs indépendants il n'y en a quasiment plus !! Espèce en voie d'extinction !!
Une "concession" dégage une rentabilité de 2% quand ça marche bien...
Un centre norauto ou roady qui tourne peut monter à plus de 6 %...
Moi je sais ou je placerai mon argent !!

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