Le Dijonnais a écrit :J'adore la conclusion :
"le point mort est avantageux parce qu'il permet de rouler en roue libre sur de plus grandes distances qu'en frein moteur."
Faut avoir fait l'ENA pour savoir ça ?
L'auteur de ce tissus de connerie est certainement plus habitué aux longues lignes droites de Mayenne qu'aux cols du Jura.....
Et perso , quand je vois un feu rouge 500m devant moi , je ne fais rien : il a 3 fois le temps de changer de couleur.....

Tout à fait d'accord.
Ce qui est dit dans l'article est juste mais n'est pas applicable dans une conduite de tous les jours. Sur ce forum nous sommes des amoureux de mécaniques, nous aimons conduire et même pour nous je trouve que ce qu'il propose n'est pas applicable car beaucoup trop compliqué! Alors pour Mr tout le monde qui prend sa voiture pour aller d'un point A à un point B.
Quand on roule et qu'on sent une descente il faut se demander : bon est-ce que c'est une petite descente et je me mets au point mort ou est-ce qu'elle est un peu grosse et je reste en 5ème? Et il faut aussi se demander : est-elle suffisamment longue? Si c'est pour devoir ré-accélérer 200m plus loin parce que c'est plat ou que çà remonte alors çà n'a pas d'intérêt.
En ville ce n'est pas applicable sauf si on aime se faire klaxonner pendant tout son trajet parce que du coup il faut se mettre au point mort très tôt.
De même sur autoroute ou sur route si pour une raison quelconque on doit ré-accélérer le temps de penser que l'on est au point mort et repasser la vitesse peut ne pas être négligeable, surtout pour la ménagère de 50 ans qui ne roule pas souvent.
Personnellement je trouve qu'il vaut mieux, si on veut économiser, anticiper au maximum, garder la vitesse la plus haute et avoir le pied léger.
330d pack luxe de 12/2002 et 200.000 kms.