Allez, zou ! Une petite couche supplémentaire.
Vous aurez compris que je tiens à l'idée de relativité extrême de l'emploi de la terminologie en matière de désignation
des carrosseries en fonction des lieux et des époques. Mais aussi des constructeurs.
Dans mes premières réponses, j'évoquais des exemples chez les constructeurs français dans les années d'avant guerre,
mais je n'avais pas été capable de produire les illustrations auxquelles je pensais... Les voici. Enfin... Quelques-unes !
Vous devez y voir la logique de base qui distingue dans les '30s le coupé du coach au nombre de vitres latérales,
sur laquelle viennent se greffet une multitude de variables : hauteur, longueur et inclinaison du pavillon, longueur de la portière
et des vitres, existence ou non de carrosseries proches dans la gamme, marottes des commerciaux, etc.
Et l'on obtient ainsi, par exemple, des trésors de logique floue tels que : "coupé coach", "coach découvrable" ou décapotable,
"faux-cabriolet" pour ce qui a tout l'air d'un simple coupé, etc., etc.
Ci-dessous, le "coupé d'affaires" 201 à comparer au "coupé-berline de voyage" 201 (au centre)
et au simple "coach" (photo du bas).
