De toutes façons, des variantes tu en auras toujours. Il faut bien distinguer deux choses : les variantes constructeur (exemple 193/1, 193/2....) et les variantes entre les marques et dans chaque marque suivant l'évolution des produits, tu rajoutes la façon dont c'est pistolé (placement du métal), la dégradation des peintures aux UVs et les différences d'éclat du vernis et tu comprends aisément qu'il n'y a pas une vérite exacte et définitive. C'est vraiment au cas par cas. Le spectromètre est une aide, un troisième oeil, mais il ne fait pas tout, et il y en a des bons, des moins bons...
Ma 1602 qui a été repeinte en 2007, lors de l'accrochage fin 2017, impossible de retrouver la même teinte avec les composants (j'avais soigneusement conservé la formule exacte), les produits n'existent plus, déjà. On a monté une teinte en se rapprochant au maximum, impossible de voir la différence entre ce qui a été peint en 2007 et en 2018 sauf à être en plein soleil et à savoir où ça a été repeint, avec un oeil exercé tu fini par le voir, comme tout.
Vu les dégâts sur ton auto, la teinte sera noyée/dégradée dans les rebords d'ailes arrières et visuellement tu n'auras pas de différence de teinte/couleur, et l'ensemble ailes/malle/jupe sera vernis, le vernis sera plus éclatant par contre surtout au début. Le tout c'est que le peintre fasse un bon raccord de vernis dans les montants "C", pas une saloperie de bombe raccord dégueulasse qui s’estompe dans le temps mais un vrai raccord noyé.
Si le gars est sérieux et aime son boulot, nul doute qu'il le fera.
