christophe75 a écrit :Pas de soucis de patinage ou de "broutage" (un mot à moi
Bien vu, le broutage d'embrayage est un terme officiel!
Pour en revenir à ce qu'on disait, en effet il est impossible de rétrograder méchamment; Mais même un rétrogradage gentil est néfaste à la boîte. Encore une fois, je parle d'utilisation intensive.
PS: Pour la p'tite histoire, mon ex ZF 4HP22 ( sur la 320iA de 87 ), malgré l'absence d'électronique empêchait les surrégimes; rien de plus facile:
Sans calculateur, la seule façon pour une BVA d'obtenir les informations régimes moteur et arbre est de prendre la pression en sortie de train et à l'entrée ( au niveau de la pompe ). Plus la pression en entrée est élevée, plus le régime est élevé. La vitesse de rotation de l'arbre est déduite via la différence de pression pompe/sortie de BV. Un ingénieux système d'orifices bouchés par des clapets à ressorts tarés ( principe du manomètre ), empêche les surrégimes intempestifs... Nous n'avons rien inventé avec l'électronique!!! Sauf peut-être une fiabilité aléatoire et des lois de passages floues ( la fameuse " logique floue "instiguée par Renault ).
Coyote, partisan de la BVA à l'ancienne qui ne réfléchit pas. ( Et oui, une ZF4HP22, ça se conduit au pied et ça réagit TOUJOURS pareil, seulement à la charge et au régime, ça ne prend pas en compte le relief et le style de conduite; là où une BVArécente, à trop vouloir bien faire, vous oblige parfois à reprendre les commandes ).
Le Coyote, sénil avant l'heure...