Bon c'est l'hiver, période propice pour nettoyer, remplacer et entretenir.

J'ai démonté tout l'intérieur pour nettoyer le cuir et le nourrir car il était bien sec par endroits.
Le but était surtout de huiler et graisser ce qui a besoin de l'être, les articulations de la capote, les mécanismes de vitres électriques un peu lents, les charnières de portes...

Idem aux portes, j'ai tout démonté, nettoyé, soufflé et graissé.
J'ai été assez surprit de voir que le traitement des ailes arrières est un peu léger. Tu m'étonnes que ça rouille dans le bas des ailes...


Cire pour corps creux liquide pour bien aller dans les fonds des tôles puis de la cire épaisse pour protéger.
Dans le trou d'accès pour la fixation de l'amortisseur arrière gauche j'ai eu la surprise de trouver l'origine du bruit aléatoire et vraiment étrange sur route abimée : le gros tournevis que vous voyez sur la photo.
Je veux bien croire qu'un cabriolet n'est pas rigide, que ça entraine des bruits et que les vitres arrières battent un peu en latéral mais là c'était trop sec et métallique. Le "coupable" est tout trouvé.

J'ai passé de la cire partout où il y avait des regards d'accès : contres ailes arrières, caissons de chaque côté des places arrières, bas de caisse, par le compartiment moteur vers les contre ailes et le bas du masque avant, dans les longerons...
Bon, deux litres de cire plus tard et des cartons partout sous la voiture, ça va bien.
Enfin, nettoyage de la moquette avec un injecteur/extracteur, deux filsm plastiques pour les portes pour l'étanchéité des garnitures de portes et c'est parti pour le remontage.

Je ferais prochainement des photos de l'auto à côté d'une copie quasi conforme : mes parents viennent d'acheter la même 325i cabriolet noire cuir noir, BBS 15 pouces, en bon état d'origine, une des premières phase 2 de décembre 1990.
A suivre !