Un Essai Inoubliable !
Publié : lun. mars 12, 2007 5:49 pm
Salut à tous,
bon et bien ça s'est tenu à pas grand chose, mais l'essai a bien eu lieu !!!
C'était super, que dis-je, extra !
Extérieurement, l'auto est tout simplement superbe. Ce regard à la fois agressif et sobre m'a laissé rêveur. La ligne générale de l'auto n'est pas cassée, bref, encore une fois, Alpina a bien réussi son coup.
L'intérieur lui respire aussi le neuf, malgré les 170 000Kms de l'auto. On se sent tout de suite à l'aise dans les sièges, içi en tissu, qui vous envellopent bien le bas du dos. L'ensemble est franchement agréable à l'oeil, surtout avec la déco typiquement Alpina qui ajoute une touche d'exclusivité à tout ça.
La mécanique estquant à elle propore également, et il est assez difficile de remarquer la présence des deux turbos, qui confèrent à l'auto ses 360ch et surtout ses 502Nm de couple, des chiffres qui font pâlir bon nombre de sportives de l'époque...
L'heure est maintenant venue de passer aux choses sérieuses... Ceinture, contact. Le moteur s'éveille dans un feulement discret, typiquement BM', fort agréable à l'oreille. Première et c'est parti. Durant les premiers mètres, on y va doucement, le temps de faire reprendre sa température au 6 cylindres 3.7L. On touche un peu au bouton magique qui permet de régler la pression des turbos pour d'abord établir celle-çi à son minimum. Première grosse accélération, la voiture s'élance dans un souffle qui couvre complètement le bruit du moteur. Petit coup d'oeil sur le compteur avant de freiner, et en l'espace d'un rien de temps, nous sommes déjà à des vitesses politiquement incorrectes. Voilà qui en dit long sur la suite.
La suite justement, et bien c'est simple, le temps de traverser u à la recherche de quelques virages et de belles lignes droites, de régler la molette de pression des turbos au maximum et c'est reparti... Vous êtes alors collez au fond du siège par un accélération qui paraît interminable, de par sa violence et sa linéarité, due aux deux turbos. Impressionnant.
A l'attaque d'une petite portion sinueuse, la voiture ne dément pas sur ses prestations de berline sportive et colle au pavé, ASC déconnecté, bien campée sur la roues de 265 à l'arrière.
Il est maintenant temps de descendre de la n°71 (sur 507 Bi-Turbo produites au total) et de faire tomber l'adrénaline qui a surgit en moi durant ce quart d'heure de bonheur.
Pour donc m'attarderai-je sur le numéro de l'auto me diriez-vous ? Et bien tout simplement parce que celle-çi a eu la particularité à l'époque d'être l'auto qui a servi aux essais presse allemand, français, belges et même anglais. Oui, mais pourtant quand on vérifie, celle-çi était rouge, et aujourd'hui, elle est grise. L'explication tient du fait que son ancien propriétaire, un boucher, trouvait le rouge Alpina trop voyant. Il a donc préféré faire repeindre l'auto en gris, lui retirant malheureusement une, voire même deux (les logos Alpina ont "disparu" dans l'histoire) touches d'exclusivité, exclusivité qui fait pourtant toute la magie des Alpina.
Vous l'aurez donc compris, ce fût pour nous un grand bonheur de recevoir Guy et sa B10 à la maison, et à Sebastien, alias alpinaB10e34, en attendant une prochaine rencontre... Un grand merci à eux d'avoir fait le déplacement.
Enfin, sachez que les B10 (il possède également une atmo) de Guy ont fait l'objet d'un reportage dans le BM World de Février dernier.





@++ Ben
bon et bien ça s'est tenu à pas grand chose, mais l'essai a bien eu lieu !!!

Extérieurement, l'auto est tout simplement superbe. Ce regard à la fois agressif et sobre m'a laissé rêveur. La ligne générale de l'auto n'est pas cassée, bref, encore une fois, Alpina a bien réussi son coup.
L'intérieur lui respire aussi le neuf, malgré les 170 000Kms de l'auto. On se sent tout de suite à l'aise dans les sièges, içi en tissu, qui vous envellopent bien le bas du dos. L'ensemble est franchement agréable à l'oeil, surtout avec la déco typiquement Alpina qui ajoute une touche d'exclusivité à tout ça.
La mécanique estquant à elle propore également, et il est assez difficile de remarquer la présence des deux turbos, qui confèrent à l'auto ses 360ch et surtout ses 502Nm de couple, des chiffres qui font pâlir bon nombre de sportives de l'époque...
L'heure est maintenant venue de passer aux choses sérieuses... Ceinture, contact. Le moteur s'éveille dans un feulement discret, typiquement BM', fort agréable à l'oreille. Première et c'est parti. Durant les premiers mètres, on y va doucement, le temps de faire reprendre sa température au 6 cylindres 3.7L. On touche un peu au bouton magique qui permet de régler la pression des turbos pour d'abord établir celle-çi à son minimum. Première grosse accélération, la voiture s'élance dans un souffle qui couvre complètement le bruit du moteur. Petit coup d'oeil sur le compteur avant de freiner, et en l'espace d'un rien de temps, nous sommes déjà à des vitesses politiquement incorrectes. Voilà qui en dit long sur la suite.
La suite justement, et bien c'est simple, le temps de traverser u à la recherche de quelques virages et de belles lignes droites, de régler la molette de pression des turbos au maximum et c'est reparti... Vous êtes alors collez au fond du siège par un accélération qui paraît interminable, de par sa violence et sa linéarité, due aux deux turbos. Impressionnant.
A l'attaque d'une petite portion sinueuse, la voiture ne dément pas sur ses prestations de berline sportive et colle au pavé, ASC déconnecté, bien campée sur la roues de 265 à l'arrière.
Il est maintenant temps de descendre de la n°71 (sur 507 Bi-Turbo produites au total) et de faire tomber l'adrénaline qui a surgit en moi durant ce quart d'heure de bonheur.
Pour donc m'attarderai-je sur le numéro de l'auto me diriez-vous ? Et bien tout simplement parce que celle-çi a eu la particularité à l'époque d'être l'auto qui a servi aux essais presse allemand, français, belges et même anglais. Oui, mais pourtant quand on vérifie, celle-çi était rouge, et aujourd'hui, elle est grise. L'explication tient du fait que son ancien propriétaire, un boucher, trouvait le rouge Alpina trop voyant. Il a donc préféré faire repeindre l'auto en gris, lui retirant malheureusement une, voire même deux (les logos Alpina ont "disparu" dans l'histoire) touches d'exclusivité, exclusivité qui fait pourtant toute la magie des Alpina.
Vous l'aurez donc compris, ce fût pour nous un grand bonheur de recevoir Guy et sa B10 à la maison, et à Sebastien, alias alpinaB10e34, en attendant une prochaine rencontre... Un grand merci à eux d'avoir fait le déplacement.
Enfin, sachez que les B10 (il possède également une atmo) de Guy ont fait l'objet d'un reportage dans le BM World de Février dernier.









@++ Ben
