Bon, eh bien ça y est. Nous y sommes !
Dans quelques jours, je serai en congés.
L'occasion de me consacrer à ma Belle.
Sur les bons conseils de Manuz1 (encore !),
je suis enfin parvenu à me procuer les condenseurs
6 volts que je souhaitais mettre de côté, en prévision
d'une panne qui peut laisser bêtement sur le bord de
la route.
Comme je l'ai déjà écrit, le fait d'avoir trouvé deux ou trois
vieux condenseurs dans la malle de la voiture lors de son
acquisition m'a toujours fait penser que cette voiture
"en bouffe"... Pour cause de vieux câbles de bougies, à l'époque ?
Qui sait ? Toujours est-il que, désormais, les câbles sont neufs
et que moi, le pilote, j'ai quatre condenseurs neufs en poche,
hé, hé, hé
Voilà qui me fait penser à une interrogation que j'aimerais vous soumettre.
Un ami et confrère me racontait autrefois son incapacité à résoudre un problème
de reprise sur une vieille Peugeot. Il avait tout repris depuis le début et affirmait à son
mécano : "J'ai une tête d'allumeur en bon état, des bougies neuves, un rupteur neuf, etc.
mais ça ratatouille quand même".
Finalement, il amène la voiture chez son mécano tard le soir, de nuit. Ils ouvrent le capot
et, dans la pénombre, ils voient immédiatement les arcs électriques qui se perdent un peu
partout, s'échappant du faisceau...
Après remplacement des câbles, l'allumage est (bien évidemment) nickel.
Et j'en arrive à ma question, ouf !
En filmant le moteur de ma NK1800 qui tourne au ralenti, j'entends sur la bande son
les crépitements de l'allumage. Un parasitage de plus en plus audible à mesure que
j'approche l'appareil photo numérique du moteur...
Question : est-ce une sensibilité normale de ce type de petit appareil grand public,
ou bien est-ce le signe certain d'une déperdition du genre de celle décrite sur la
Peugeot de mon ami ?
Hum...
