Je sais, moi aussi ça m'a fait mal au coeur, mais je n'avais pas le choix, je n'avais vraiment pas la place, je me demande déja comment je vais stocker tout ce que je vais démonter sur celle que je restaure car j'ai déja tout ce qui vient de la première.
J'ai tout de même gardé toute l'aile avant gauche, la partie de l'aile avant droite dont je vais avoir besoin, la masque avant, le bac à roue de secours dont je vais avoir besoin et toute la jupe arrière. J'ai gardé aussi tout le toi qui va me servir de réserve de tôle. Et puis quand on voit l'état des tôles autour des chapelles d'amortisseurs avants, il aurait vraiment fallu dépenser une fortune pour la sauver et je pense que ça n'en vallait pas la peine, ce n'est "qu'une" CSI, "vulgaire" au sens éthymologique, c'est à dire "de la foule", autrement dit pas si rare que ça comparées aux CSL, et puis je préfère en faire une du mieux possible plutôt que deux à moitié.
Ca deviends le musée des horreur votre post
Au moins on saura ou regarder quand on achète une 30 cs.
Mamaria tu as des photos de ta restauration ?? tu peux les poster ?? envois sur manuz1@6enligne.net je les mettrait.
A voir toutes cette rouille j'ai moins de regret à détruire notre 30 s.
a+
Je vous tire mon chapeau, passer du temps et du fric à restaurer des tas de rouille comme les votres, c'est , moi je ne supporterais pas d'avoir une auto en apparence au final en bon état en sachant que la rouille est partout et continue son travail dévastateur, découper des pièces pourries et les remplacer par des bouts de tole grossièrement formées, boucher à la résine et mettre du phosphatant à gogo, je ne sais pas si c'est de la restauration dans les règles de l'art.
JWEST a écrit :découper des pièces pourries et les remplacer par des bouts de tole grossièrement formées, boucher à la résine et mettre du phosphatant à gogo,
Qui t'a parlé de mettre des bouts de tole grossièrement formées et de bourrer de résine?
Sache que les "bouts de tole" sont encore tous vendus en neuf avec leur forme d'origine finement formée et que pour les plus simples d'entre eux ils peuvent être correctement formés par quelqu'un sachant un peu se servir de ses mains. A partir de là, nul besoin d'utiliser des kilos de résine ou autre mastiques pour refaire une auto propre, correctement protégée contre la rouille à l'aide de produits modernes et performants.
On peut même pousser le soucis du travail bien fait jusqu'à remplacer le mastic par de l'étain pour masquer les soudures et ne réserver l'usage du mastic qu'aux finitions fines, comme cela a toujours été fait par les carrossiers.
Renebert a été un peu plus rapide que moi pour ce qui concerne la réponse a la remarque de JWEST (!). Presque
toutes les pièces sont en effet encore disponibles chez BMW (Mobile Tradition) et/ou chez certains spécialistes des
BMW anciennes (qui ont très souvent acheté des stocks anciens ou fait refaire a l'identique quand cela est possible).
Tout VRAI amateur qui se respecte et se lance dans une restauration digne de ce nom passe donc par ces points de
passage obligés. Tout ceci a un cout, bien entendu.
Je laisse la laine de verre au mètre, les rivets pops, la résine par litres et autres plaques de tole découpées a la
va-vite aux pseudo-amateurs d'arrière cour et autres marchands de véhicules de collection "comme neufs" dont
la seule passion que je leur reconnais n'est autre que la revente rapide et l'attrait du dollar facile