Ca, on peut dire que c'est sympa de ta part :-)
Mais ça arrive de trouver des récaros tout pourris en casse ?
Sinon, je sais pas si les intervalles de trous sont les mêmes entre E21 et E28.
Parce que si c'est oui, effectivement, ça pourrait faire l'affaire.
Mais ça va pas être grand chose à faire, ces console sur mesure. De toute façon, aux mines je vais y aller avec des fauteuils de 528i.
Tiens, pour infos, si jamais tu trouves, les espacement entre les trous du plancher sont (en se référant au milieu du trou):
- 31,5 cm entre l'avant et l'arrière
- 45 cm entre les 2 côtés latéraux.
Le fauteuil recaro a 40 cm entre les 2 côtés, il faut donc faire une console en pente, large à la base et plus étroite de 2 cm en haut.
Le tout de 7 cm de haut.
Alpina B9 Numéro 348
- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
- touring
- Messages : 766
- Inscription : dim. mai 05, 2002 6:44 pm
- Localisation : Genève
Re: Alpina B9 Numéro 348
O.K je regarde. et je prend les cotes.
Je vais également voir sur d'autre modèle qui se montait avec des recaro à l'époque pour les opel Manta par exemple. Tu connais d'autre marque ou les Recaro étaientt montés d'origine.
Comme j'aime bien trainer en démol là au moins j'ai une occupation
Question bête et stupide: c'est très difficile d'adapter une console de siège normal sur les recaro?
Je vais également voir sur d'autre modèle qui se montait avec des recaro à l'époque pour les opel Manta par exemple. Tu connais d'autre marque ou les Recaro étaientt montés d'origine.
Comme j'aime bien trainer en démol là au moins j'ai une occupation

Question bête et stupide: c'est très difficile d'adapter une console de siège normal sur les recaro?
- touring
- Messages : 766
- Inscription : dim. mai 05, 2002 6:44 pm
- Localisation : Genève
Re: Alpina B9 Numéro 348
alors rien de rien je rentre à l'instant
aucun Recaro en vue même pas des pourris ou tout dechiré 


- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
Re: Alpina B9 Numéro 348
aaaarfff, c'est pas grave, il y a bien le temps
je me remet un peu plus à fond sur mon boulot en ce moment, donc la B9 va avancer cet été, mais à son rythme.
Faut que je recharge mes batteries à roros

je me remet un peu plus à fond sur mon boulot en ce moment, donc la B9 va avancer cet été, mais à son rythme.
Faut que je recharge mes batteries à roros

- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
Re: Alpina B9 Numéro 348
Bon, je re-uppe le sujet, la mise à jour arrive incessament sous peu.
Et pour répondre à Touring au sujet des récaros, les consoles de fixation existent en neuf, je vais les commander (ouf...).
Ca vaut mieux, ce sera plus homologable que du bricolage.
Et pour répondre à Touring au sujet des récaros, les consoles de fixation existent en neuf, je vais les commander (ouf...).
Ca vaut mieux, ce sera plus homologable que du bricolage.
- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
Re: Alpina B9 Numéro 348
Voici une nouvelle mise à jour aprés quelques temps sans nouvelles :-).
Ci-dessous, le coffre redécapé à blanc, phosphaté, et bien gratté dans les moindres petits recoins, et cratères laissé par la rouille.
A ce stade, je me demande comment je vais lui donner un aspect sympa, avec tous ces petits creux.

Le couvercle de malle avait besoin d'un peu de ponçage. Mais la pauvre elle sait pas ce qui l'attend plus tard.

J'ai mis un peu de minium gris sur les parties à nu.

démontage d'un fil et d'un contact qui servaient à l'alarme, puisqu'il n'aboutissait à rien à l'intérieur de la voiture.

grattage de la mousse sous la boite à outil, en vue de poncer le dessous de la malle.

Détail de la rouille qui phosphate sous le toit ouvrant (en piteux état le pauvre, il va demander du boulot)

Finition de ponçage d'une aile avant, par mon apprenti Fanfan, fils de la maitresse des lieux. Il est en vacances pour 3 semaines, et n'avait qu'une hâte, c'est de m'aider à bosser sur la voiture. Un futur carrossier de 12 ans :-).


Arrachage de la mousse sous le capot.

Ensuite je l'ai posé, et imbibé ce qui restait au white spirit.

Aprés 2 minutes, tout le reste est parti tout seul, sans forcer.

Démontage des buses de lave glace, et des canalisations.

Il y a quand même du dégat par la rouille sur ce beau capot de 528i :-( Meuleuse, et hop, décapage à blanc.
Il faudra que je me procure des mousses en bon état, elles sont cramées celle d'origine.

On est bien dans le coffre :-)

Aprés l'avoir reminiumer, j'ai partiellement mastiqué les parties les plus granuleuses de mon fond de coffre.
Je me fais pas d'illusion, ce coffre est un rescapé, la rouille y reviendra plus facilement que sur un neuf. Je préfère donc ne pas la voir réapparaitre avant des années, et l'isoler un peu.

Et Hop, un camouflage de tout le coffre ! Aprés avoir pas mal réfléchi, je me suis dit que ce qui me plairait le plus, pour palier aux défauts visuels de ce fond de coffre, serait de le couvrir d'anti-gravillon noir. Je me suis donc lancé. Le fait est que j'aime bien le rendu de l'anti-gravillon, et qu'au final, la malle de coffre est entièrement recouverte de moquette. Je laisse les soudures brutes et visibles.
C'est ma voiture et le côté rustique ne me déplait pas, dans une partie utilitaire comme le coffre.



début de pulvérisation, la couleur est verte au début, et devient noire en séchant.



Première couche passée. Il manque le fond du coffre, la cartouche est vide. J'y remettrais une deuxième couche le lendemain.


Voilà le rendu, pas trés satisfaisant parce que trop fin, de la première couche.

Et surprise, il y avait des coulures de phosphatant, qui se sont réactivées avec la pulvérisation, et qui ont détruit le bitume.
Pour y remédier, j'ai pulvérisé de la peinture en bombe noire, qui a eu raison du phosphatant.

Démontage des serrures du coffre, et du moteur de centralisation.

Réparation au mastic fibre des dégats par la rouille d'une des portières, en bas. un bon ponçage, et ce sera pas mal. Pas trés visible comme partie donc ça va.

Des cartons pour poser mes pieds, et peindre le fond du coffre.


Passage de la deuxième couche de bitume noir.

J'ai un photo reporter maintenant, alors on me voit plus souvent sur les photos...

Et voilà ! J'attends avec hâte que ça sèche.

Camouflage en cours du portière. Elle n'est pas posée sur le sol, mais sur des tuyaux d'arrosage, ici on prend soin du matériel :-).

On ressort la vieille jupe avant, pour décaper les tâches de rouille superficielles. Elle est pas abimée du tout par la rouille, étonnament, vu qu'elle avait été percée n'importe comment pour refixer le spoiler.

Un coup de meuleuse pour mettre la tôle à blanc, et de la brosser métallique aussi.

Un lavage pour distinguer les vrais tâches de rouille de la poussière orange qui la recouvre.

Mastiquage des bosses de l'aile avant droite, grossièrement au début.

Puis passage au mastic de finition aprés avoir poncé.

Du phosphatant sur les trés peu nombreuses tâches de rouille de la jupe avant, partie intérieure.

Pareil à l'extérieur.


Voilà le rendu final du bitume noir. Je trouve que ça fait trés clean, et le noir ne me dérange pas dans le coffre. Vu son état, avec soudures apparentes, et aussi vu qu'à l'origine, c'est recouvert de bitume, de mousse adhésives, et que ce n'est pas bien peint, je pense laisser le coffre en noir. Par contre je vais passer une épaisse couche de laque pour rendre ça plus solide, car le bitume non peint se raye facilement.




J'avais camouflé le fond, niquel et comme neuf, mais si je peins tout en laque noire, je le peindrais aussi.
A ce stade, je peux encore décider de repeindre ça en Delphin Metallic bien entendu, rien ne presse.


Et pour finir cette première partie de la mise à jour, un petit rappel de l'état du coffre au début, ça fait du bien de voir la différence
La suite des photos arrive.

Ci-dessous, le coffre redécapé à blanc, phosphaté, et bien gratté dans les moindres petits recoins, et cratères laissé par la rouille.
A ce stade, je me demande comment je vais lui donner un aspect sympa, avec tous ces petits creux.

Le couvercle de malle avait besoin d'un peu de ponçage. Mais la pauvre elle sait pas ce qui l'attend plus tard.

J'ai mis un peu de minium gris sur les parties à nu.

démontage d'un fil et d'un contact qui servaient à l'alarme, puisqu'il n'aboutissait à rien à l'intérieur de la voiture.

grattage de la mousse sous la boite à outil, en vue de poncer le dessous de la malle.

Détail de la rouille qui phosphate sous le toit ouvrant (en piteux état le pauvre, il va demander du boulot)

Finition de ponçage d'une aile avant, par mon apprenti Fanfan, fils de la maitresse des lieux. Il est en vacances pour 3 semaines, et n'avait qu'une hâte, c'est de m'aider à bosser sur la voiture. Un futur carrossier de 12 ans :-).


Arrachage de la mousse sous le capot.

Ensuite je l'ai posé, et imbibé ce qui restait au white spirit.

Aprés 2 minutes, tout le reste est parti tout seul, sans forcer.

Démontage des buses de lave glace, et des canalisations.

Il y a quand même du dégat par la rouille sur ce beau capot de 528i :-( Meuleuse, et hop, décapage à blanc.
Il faudra que je me procure des mousses en bon état, elles sont cramées celle d'origine.

On est bien dans le coffre :-)

Aprés l'avoir reminiumer, j'ai partiellement mastiqué les parties les plus granuleuses de mon fond de coffre.
Je me fais pas d'illusion, ce coffre est un rescapé, la rouille y reviendra plus facilement que sur un neuf. Je préfère donc ne pas la voir réapparaitre avant des années, et l'isoler un peu.

Et Hop, un camouflage de tout le coffre ! Aprés avoir pas mal réfléchi, je me suis dit que ce qui me plairait le plus, pour palier aux défauts visuels de ce fond de coffre, serait de le couvrir d'anti-gravillon noir. Je me suis donc lancé. Le fait est que j'aime bien le rendu de l'anti-gravillon, et qu'au final, la malle de coffre est entièrement recouverte de moquette. Je laisse les soudures brutes et visibles.
C'est ma voiture et le côté rustique ne me déplait pas, dans une partie utilitaire comme le coffre.



début de pulvérisation, la couleur est verte au début, et devient noire en séchant.



Première couche passée. Il manque le fond du coffre, la cartouche est vide. J'y remettrais une deuxième couche le lendemain.


Voilà le rendu, pas trés satisfaisant parce que trop fin, de la première couche.

Et surprise, il y avait des coulures de phosphatant, qui se sont réactivées avec la pulvérisation, et qui ont détruit le bitume.
Pour y remédier, j'ai pulvérisé de la peinture en bombe noire, qui a eu raison du phosphatant.

Démontage des serrures du coffre, et du moteur de centralisation.

Réparation au mastic fibre des dégats par la rouille d'une des portières, en bas. un bon ponçage, et ce sera pas mal. Pas trés visible comme partie donc ça va.

Des cartons pour poser mes pieds, et peindre le fond du coffre.


Passage de la deuxième couche de bitume noir.

J'ai un photo reporter maintenant, alors on me voit plus souvent sur les photos...

Et voilà ! J'attends avec hâte que ça sèche.

Camouflage en cours du portière. Elle n'est pas posée sur le sol, mais sur des tuyaux d'arrosage, ici on prend soin du matériel :-).

On ressort la vieille jupe avant, pour décaper les tâches de rouille superficielles. Elle est pas abimée du tout par la rouille, étonnament, vu qu'elle avait été percée n'importe comment pour refixer le spoiler.

Un coup de meuleuse pour mettre la tôle à blanc, et de la brosser métallique aussi.

Un lavage pour distinguer les vrais tâches de rouille de la poussière orange qui la recouvre.

Mastiquage des bosses de l'aile avant droite, grossièrement au début.

Puis passage au mastic de finition aprés avoir poncé.

Du phosphatant sur les trés peu nombreuses tâches de rouille de la jupe avant, partie intérieure.

Pareil à l'extérieur.


Voilà le rendu final du bitume noir. Je trouve que ça fait trés clean, et le noir ne me dérange pas dans le coffre. Vu son état, avec soudures apparentes, et aussi vu qu'à l'origine, c'est recouvert de bitume, de mousse adhésives, et que ce n'est pas bien peint, je pense laisser le coffre en noir. Par contre je vais passer une épaisse couche de laque pour rendre ça plus solide, car le bitume non peint se raye facilement.




J'avais camouflé le fond, niquel et comme neuf, mais si je peins tout en laque noire, je le peindrais aussi.
A ce stade, je peux encore décider de repeindre ça en Delphin Metallic bien entendu, rien ne presse.


Et pour finir cette première partie de la mise à jour, un petit rappel de l'état du coffre au début, ça fait du bien de voir la différence

La suite des photos arrive.

- 316baur
- Messages : 4287
- Inscription : ven. mai 03, 2002 11:45 pm
- Localisation : Aix-Marseille
Re: Alpina B9 Numéro 348
Sa bosse dur sur cette Alpina !!!!!
Félicitations !!!
J'aime beaucoup la photo ou tu est dans le coffre .

Félicitations !!!

J'aime beaucoup la photo ou tu est dans le coffre .

- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
Re: Alpina B9 Numéro 348
Merci Rémy, j'y retourne cet aprés-midi
Y a du pain sur la planche encore, mais je suis content de l'avancée.

Y a du pain sur la planche encore, mais je suis content de l'avancée.
- sergouilbm
- Messages : 7113
- Inscription : mer. juil. 14, 2004 2:18 pm
- Contact :
Re: Alpina B9 Numéro 348
Test de pose des moquettes, pour le moral des troupes. Elles sont nikels ces moquettes de 528i, ça fait plaisir.



La trappe au dessus du réservoir d'essence, pour accéder au filtre...

Le musée aux horreurs, l'ancienne trappe rouillée, et la nouvelle qui va lui succéder avec un certain bonheur.

Ca le fait mieux tout ça...

Fanfan préfère poncer que d' être pris en photo...

fin de comouflage d'une portière arrière. A l'heure qu'il est elle sont tout camouflée et poncée.
Je voulais camoufler les gâches et autres serrures, mais finalement, je vais les démonter, ça sera plus propre...

Une photo prise je sais plus du tout pourquoi... Ah si, je crois que j'avais tenté un collage du becquet qui s'est soldé par un échec, alors pas d'autres photos...

Portière camouflée

Démontage de la malle arrière. Je vais démonter tous les mécanismes d'ouverture, pour les nettoyer et repeindre plus facilement.

nettoyage et ponçage par Fanfan.

J'ai démonté filtre à air, débimètre, agrafes de faisceau pour pourvoir nettoyer plus facilement les joues d'ailes.

Une fois propre, c'est pas si mal, à part la zone mastiquée, et la cloche d'ammorto déjà poncée.
En fait, je ne sais pas encore dans quel ordre je vais procéder ici. Il y a de petits départs de rouille traités au phosphatant, que je recouvrirais de minium. Néanmoins, je ne veux pas faire de peinture partiellement. Je pense que je vais plutôt tenter de démonter le moteur, et je repeindrais tout le compartiment ensuite. Mais quand ? Idéalement, ce serait bien avant d'avoir repeint la voiture...*
D'un autre côté, comme je garde à l'esprit l'idée de mettre un moteur Alpina véritable dedans, faut voir...


Décapage à blanc d'un bas d'aile un peu taché de rouille.


Là décapage en cours, et phosphatant.

La je suis en train de finir de poncer le mastic de cette aile remastiquée, mais on ne verra pas le résultat. Maudit photographe :-).

C'est étonnant, l'aile est collé sur son support sans être peinte en dessous, la tôle est nue, pareil pour le support Pas étonnant que le support de ma B9 ait été tellement rouillé, pour peu que l'aile aie été démontée, sans être bien recollée.


Alors hier, fini la rigolade. On a decidé avec Fanfan de fixer et de ravoir ce becquet, coûte que coûte, quitte à sacrifier la malle originale de la B9. J'ai rencontré un garagiste passionné il y a quelques jours, il a tellement refait de choses lui même avec de la fibre de verre, qu'il m'a encouragé à continuer ma resto de becquet.
Donc achat de vis parker à métaux, perceuse, colle néoprène, toile de fibre de verre fine (j'ai arraché ma précédente couche de fibre, trop grossière, et surtout qui avait rigidifié de trop le becquet).
Principal problème avec ce becquet: il laisse un jour de 1 cm sur le dessus de la malle lorsqu'on le boulonne, et se redresse à droite.
Le but est de le rigidifier à la fibre de verre, et de le mastiquer au polyester pour avoir un becquet au look similaire à l'ancien, mais en dur.

Alors d'abord je le boulonne pour pouvoir percer autant de trous que nécessaire, pour le fixer à la malle et qu'il ne fasse plus de jours béants.

Voilà les petits trous, à côté des grand d'origine. J'ai percé d'abord le becquet, en faisant des marque sur la malle, puis percé la malle seule à l'endroit des marques. Parce que la perceuse à force, ça chauffe, et le becquet fume, pas envie d'y mettre le feu :-)

Voilà le becquet percé, on a fait une première tentative de serrage, mais on s'est rendu compte que le caoutchouc baillait entre 2 vis...

Donc, pour bien être sûr de réussir, j'ai mis de la néoprène sur le becquet et sur la malle, juste au bord naturellement.

Interlude: en même temps, j'avais mis la voiture sur cric et chandelle pour tester ma nouvelle brosse métallique sur meuleuse

Ce arrache bien le bitume épais sous le passage de roue...

Et ça le transforme en mousse de bitume, dont on peut se servir pour rembourer des oreillers, par exemple :-)...

Voilà le becquet bien fixé, et qui prend bien la forme qu'il doit avoir. Le serrage n'est pas au maxi si ce n'est pas nécessaire, car celà appuie sur le caoutchouc, et déforme la ligne de contour. En même temps que l'on a serré, la néoprène a fait prise et tout adhère bien droit.

Voilà un becquet qui s'ajuste enfin. Sur la photo, la ligne ondule un peu, parce qu'on a fait pression sur la néoprène ensuite. Maintenant, c'est nikel et bien droit.

La néoprène ayant bien pris, on s'est aperçu que seul les 2 dernières vis étaient nécessaires. Je rajoute que l'emploi de rondelle était nécessaire, sinon la tête de la vis s'enfonçait dans la mousse HS.

Mastiquage des trous laissés par l'arrachage de la précédente couche de fibre de verre.

Et pose de la nouvelle toile. C'est pas évident à faire parce qu'au bout d'un moment on a plein de résine sur les doigts et les outils, et la toile reste collée sur ceux-ci plutôt que sur le becquet.

Découpage au cutter des contours de vis. De toute façon, à la fin, tout le contour en fibre des vis sera découpé, et du mastic appliqué dans le trou laissé par le retrait de la vis.

Et voilà un premier prototype de becquet renforcé, terminé hier à 21 heures.




La trappe au dessus du réservoir d'essence, pour accéder au filtre...

Le musée aux horreurs, l'ancienne trappe rouillée, et la nouvelle qui va lui succéder avec un certain bonheur.

Ca le fait mieux tout ça...

Fanfan préfère poncer que d' être pris en photo...

fin de comouflage d'une portière arrière. A l'heure qu'il est elle sont tout camouflée et poncée.
Je voulais camoufler les gâches et autres serrures, mais finalement, je vais les démonter, ça sera plus propre...

Une photo prise je sais plus du tout pourquoi... Ah si, je crois que j'avais tenté un collage du becquet qui s'est soldé par un échec, alors pas d'autres photos...

Portière camouflée

Démontage de la malle arrière. Je vais démonter tous les mécanismes d'ouverture, pour les nettoyer et repeindre plus facilement.

nettoyage et ponçage par Fanfan.

J'ai démonté filtre à air, débimètre, agrafes de faisceau pour pourvoir nettoyer plus facilement les joues d'ailes.

Une fois propre, c'est pas si mal, à part la zone mastiquée, et la cloche d'ammorto déjà poncée.
En fait, je ne sais pas encore dans quel ordre je vais procéder ici. Il y a de petits départs de rouille traités au phosphatant, que je recouvrirais de minium. Néanmoins, je ne veux pas faire de peinture partiellement. Je pense que je vais plutôt tenter de démonter le moteur, et je repeindrais tout le compartiment ensuite. Mais quand ? Idéalement, ce serait bien avant d'avoir repeint la voiture...*
D'un autre côté, comme je garde à l'esprit l'idée de mettre un moteur Alpina véritable dedans, faut voir...


Décapage à blanc d'un bas d'aile un peu taché de rouille.


Là décapage en cours, et phosphatant.

La je suis en train de finir de poncer le mastic de cette aile remastiquée, mais on ne verra pas le résultat. Maudit photographe :-).

C'est étonnant, l'aile est collé sur son support sans être peinte en dessous, la tôle est nue, pareil pour le support Pas étonnant que le support de ma B9 ait été tellement rouillé, pour peu que l'aile aie été démontée, sans être bien recollée.


Alors hier, fini la rigolade. On a decidé avec Fanfan de fixer et de ravoir ce becquet, coûte que coûte, quitte à sacrifier la malle originale de la B9. J'ai rencontré un garagiste passionné il y a quelques jours, il a tellement refait de choses lui même avec de la fibre de verre, qu'il m'a encouragé à continuer ma resto de becquet.
Donc achat de vis parker à métaux, perceuse, colle néoprène, toile de fibre de verre fine (j'ai arraché ma précédente couche de fibre, trop grossière, et surtout qui avait rigidifié de trop le becquet).
Principal problème avec ce becquet: il laisse un jour de 1 cm sur le dessus de la malle lorsqu'on le boulonne, et se redresse à droite.
Le but est de le rigidifier à la fibre de verre, et de le mastiquer au polyester pour avoir un becquet au look similaire à l'ancien, mais en dur.

Alors d'abord je le boulonne pour pouvoir percer autant de trous que nécessaire, pour le fixer à la malle et qu'il ne fasse plus de jours béants.

Voilà les petits trous, à côté des grand d'origine. J'ai percé d'abord le becquet, en faisant des marque sur la malle, puis percé la malle seule à l'endroit des marques. Parce que la perceuse à force, ça chauffe, et le becquet fume, pas envie d'y mettre le feu :-)

Voilà le becquet percé, on a fait une première tentative de serrage, mais on s'est rendu compte que le caoutchouc baillait entre 2 vis...

Donc, pour bien être sûr de réussir, j'ai mis de la néoprène sur le becquet et sur la malle, juste au bord naturellement.

Interlude: en même temps, j'avais mis la voiture sur cric et chandelle pour tester ma nouvelle brosse métallique sur meuleuse

Ce arrache bien le bitume épais sous le passage de roue...

Et ça le transforme en mousse de bitume, dont on peut se servir pour rembourer des oreillers, par exemple :-)...

Voilà le becquet bien fixé, et qui prend bien la forme qu'il doit avoir. Le serrage n'est pas au maxi si ce n'est pas nécessaire, car celà appuie sur le caoutchouc, et déforme la ligne de contour. En même temps que l'on a serré, la néoprène a fait prise et tout adhère bien droit.

Voilà un becquet qui s'ajuste enfin. Sur la photo, la ligne ondule un peu, parce qu'on a fait pression sur la néoprène ensuite. Maintenant, c'est nikel et bien droit.

La néoprène ayant bien pris, on s'est aperçu que seul les 2 dernières vis étaient nécessaires. Je rajoute que l'emploi de rondelle était nécessaire, sinon la tête de la vis s'enfonçait dans la mousse HS.

Mastiquage des trous laissés par l'arrachage de la précédente couche de fibre de verre.

Et pose de la nouvelle toile. C'est pas évident à faire parce qu'au bout d'un moment on a plein de résine sur les doigts et les outils, et la toile reste collée sur ceux-ci plutôt que sur le becquet.

Découpage au cutter des contours de vis. De toute façon, à la fin, tout le contour en fibre des vis sera découpé, et du mastic appliqué dans le trou laissé par le retrait de la vis.

Et voilà un premier prototype de becquet renforcé, terminé hier à 21 heures.

- stefi
- Messages : 2579
- Inscription : mar. févr. 18, 2003 7:56 pm
- Localisation : paris 17
Re: Alpina B9 Numéro 348
alors là je dis chapeau
une restauration qu'on apprécie à lire et à regarder. un vrai reportage aussi passionnant qu'instructif.
encore merci et j'attends la suite avec impatience

encore merci et j'attends la suite avec impatience

déja 22 ans de forum, Ex 733i e23, Ex 324d e30, ex 320i touring e36 et ex 730ia e32
Merco 500 SL 2005, Classe B200 2008. 400 Honda sw-t
Merco 500 SL 2005, Classe B200 2008. 400 Honda sw-t
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot] et 28 invités