Salut,dgl a écrit :Et en Belgique on a eu la 725i qui échappait à la taxe de luxe de 8% en supplément des 25% de tva.
elle avait quel moteur celle-ci et quelle puissance?
il y en a eu beaucoup? comment vérifier lors d'un achat si c'est bien un 2.8l sous le capot? j'aurais appris un truc en tout cas! pas simple tout çasergouilbm a écrit :la 728i moteur 2,5L a existé en France aussi, mais elle ne s'appelait pas 725.
Je pense que c'est pour une question bêtement bourgeoise et commerciale: elle permettait l'accès à la série 7 avec une fiscalité plus intéressante (12 chevaux) mais les proprio avait l'égo intact car elle s'appelle quand même 728i![]()
Et c'est un veau intergalactique encore peu égalé dans le domaine de la grosse berline de luxe (peut être l'oldsmobile delta 88 diesel avec son 5,7 litres diesel de 120 chevaux)
Rappelons qu'il s'agit du vieux M30 2,5 litres hérité des 2500 et pas du M20 2,5, apparu plus tard dans l'historique des motorisations, et qui a par contre équipé la 525i E34.
Alors là pardon !sergouilbm a écrit :J'ai dit dans le domaine de la grosse berline de luxe...
En fait je compare cette auto par rapport à l'image qu'on a d'une grosse Bmw 6 cylindres, souple, rapide.
Avec cette version on a le son et l'image, mais faut jouer en permanence du levier pour grimper un faux plat, pour une Bmw ça devait être bien décevant même à l'époque.
En fait, si on regarde les essais de véhicules à la fin 70 début 80, on voit que la production française n'avait pas grand chose à opposer à une 323i, une 528i ou une 735i dans leurs catégorie respective, il y avait une forte image de sportivité.
Mais je comprends que la 728i 2,5L fut financièrement intéressante, et puis il reste la finition et le confort.
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