Je partage ton sentiment mais je ne suis pas d'accord sur un point : la poussée dans le dos ressentie, ou l'accélération, tient bien de la puissance, et non du rapport poids/puissance.Kelvinator a écrit :Bonjour,
Une des données principales au sujet du plaisir de conduite d'une auto est le rapport poids/puissance. A partir du moment où le poids dépasse un certain stade, on peut faire ce que l'on veut: la voiture pourra être performante, efficace, mais ça restera aseptisé.
J'ai passé mon weekend en Lotus Elise/Exige: là, on touche le bonheur absolu, avec un budget raisonnable, une efficacité terrifiante et des sensations...C'est simple, tout est fade ensuite, y compris une Scaglietti. Seuls bémols: le coffre est petit et le son ne vaut pas et ne vaudra jamais un vrai 6 BMW.
Pour le reste, une simple Elise dammera le pion à la majorité des BMW et autres... Sauf sur autoroute peut être, mais en ce qui me concerne, le plaisir n'est pas sur les 4 voies mais bien sur les petites routes de campagne.
Sport Auto avait fait un sujet là-dessus en faisant un match avec des voitures ayant le même rapport poids/puissance mais avec des puissances très différentes (de mémoire, M5 E39 vs Lotus je_ne_sais_plus_laquelle) et le bilan était que la plus puissante accélérait le plus fort, bien que le rapport poids/puissance était identique.
Ca peut paraître étrange mais c'était bien le résultat.
Je ne prend pas un plaisir particulier à rouler vite, par contre j'adore allonger les rapports jusqu'au rupteur en sentant cette poussée qu'on ne retrouve que sur les véhicules "avec des watts"...
