
[HS ON]
Voilà:

[HS OFF]
Blague mise à part. Tu penses que l' "élan" n'a pas d'incidence sur le chrono d'une reprise ?gixxer a écrit :Heuu, pour faire simple, non. :rolleyes:
Je n'aurais pas utilisé ce terme là, mais dans la pratique si, bien sûr.Blague mise à part. Tu penses que l' "élan" n'a pas d'incidence sur le chrono d'une reprise ?
Il n'est pas très heureux, en effet, c'est pourquoi j'ai utilisé des guillemetsgixxer a écrit :Je n'aurais pas utilisé ce terme là, mais dans la pratique si, bien sûr.
C'est un domaine que je ne connais pas bien, mais intuitivement j'imagine que l'on ne passe pas instantanément du mode "allure régulière" au mode "pleine charge" et qu'il existe une sorte de diagramme de transition, qui amène "progressivement" (mais dans un laps de temps très court) le moteur en pleine charge.gixxer a écrit :Ta réflexion est intéressante, même si elle est inexacte en partie ( La cartographie "pleine charge" d'un moteur ( donc debit d'air maxi ) est la même que l'on soit en vitesse stabilisée ou en accélération )
Je ne suis pas sûr là non plus, mais dans le cas d'un turbo à géométrie fixe, il me semble qu'il n'y a pas d'action électronique, et donc que son fonctionnement (vitesse de rotation, rendement thermodynamique) dépend uniquement du régime moteur. Intuitivement j'aurais tendance à dire qu'il n'y a pas de différences de fonctionnement.gixxer a écrit :- le temps de mise en charge sur les moteurs turbo
Je me méfie des sensations pour mesurer les performances. Le corps humain est plus sensible à de fortes variations de couple (liées par exemple aux anciens turbo) qu'à une courbe de couple bien plate et pourtant mieux remplie.Nico-R a écrit :C'est intéressant ce que tu dis Pilef, je voulais rajouter autre chose, celui qui à déja conduit un moteur suralimenté c'est rendu compte que les accélérations qui se font depuis les bas régimes sont moins impressionnantes que celles réalisé à un régime stabilisé, au dessus du régime d'accroche, là quand on "met le pied" les accélérations sont, physiologiquement parlant, plus impressionnantes.
Sur une injection du type motronic, il n'y a pas de cartographie de "transition" . Sur une injection plus récente je ne sais pas, mais je n'en vois pas l'intérêt.intuitivement j'imagine que l'on ne passe pas instantanément du mode "allure régulière" au mode "pleine charge" et qu'il existe une sorte de diagramme de transition, qui amène "progressivement" (mais dans un laps de temps très court) le moteur en pleine charg
Je ne comprends pas très bien. Entre le moment ou l'on ouvre le papillon, que la turbine recoit plus de gaz ( ou plus de pression ... ), que le compresseur tourne plus vite, que l'air compressé augmente de pression et que le tout arrive aux cylindres, il y a tout un cycle qui dépend de beaucoup de facteurs, principalement l'inertie du turbo, sa vitesse de rotation actuelle, son rendement à ce débit précis, la longueur des canalisations, les pertes de charge du circui, etc, etc... tout ça pour dire que sur une turbo "old school" ça peut dépasser la seconde de temps de réaction.dans le cas d'un turbo à géométrie fixe, il me semble qu'il n'y a pas d'action électronique, et donc que son fonctionnement (vitesse de rotation, rendement thermodynamique) dépend uniquement du régime moteur. Intuitivement j'aurais tendance à dire qu'il n'y a pas de différences de fonctionnement.
Excessivement justeLe corps humain est plus sensible à de fortes variations de couple (liées par exemple aux anciens turbo)
Regarde attentivement la progression du compteur lors d'une accélération en 1/2/3... tu seras très etonné par le manque de régularité. Comme les mesures se font à partir du compteur......le retard de l'aiguille du compteur
Sur la dernière M5, il y a un commutateur qui permet de changer la vitesse de réaction de l'accélérateur. D'après ce que j'ai compris, en mode "confort" le moteur réagit moins vite à la pression sur la pédale d'accélérateur. Mais je suis d'accord que c'est un réglage au niveau de l'accélérateur électronique et pas de la cartographie (c'était pour débattre de l'intérêt de la chosegixxer a écrit :Sur une injection du type motronic, il n'y a pas de cartographie de "transition" . Sur une injection plus récente je ne sais pas, mais je n'en vois pas l'intérêt.
Oui bien sûr il y a un temps de latence du turbo. La question pour moi est "est-ce que ce temps de latence est plus élevé si on part d'une vitesse stabilisée ?".gixxer a écrit :Je ne comprends pas très bien. Entre le moment ou l'on ouvre le papillon, que la turbine recoit plus de gaz ( ou plus de pression ... ), que le compresseur tourne plus vite, que l'air compressé augmente de pression et que le tout arrive aux cylindres, il y a tout un cycle qui dépend de beaucoup de facteurs, principalement l'inertie du turbo, sa vitesse de rotation actuelle, son rendement à ce débit précis, la longueur des canalisations, les pertes de charge du circui, etc, etc... tout ça pour dire que sur une turbo "old school" ça peut dépasser la seconde de temps de réaction.
Je te crois sur parole, en même temps on parle de reprises en 4ème de 80 à 120gixxer a écrit :Regarde attentivement la progression du compteur lors d'une accélération en 1/2/3... tu seras très etonné par le manque de régularité. Comme les mesures se font à partir du compteur......
Oui, tous les conducteurs de turbos te le diront.La question pour moi est "est-ce que ce temps de latence est plus élevé si on part d'une vitesse stabilisée ?".
Je parlais 1/2/3 parceque c'est flagrant. En 4 il y a le même problème. L'electronique de conversion des impulsions a sa propre constante de temps...Je te crois sur parole, en même temps on parle de reprises en 4ème de 80 à 120 tongue.gif
En fait comment expliques tu ce retard ? Par l'inertie de l'aiguille et du moteur électrique ?
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